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11 mai 2024 6 11 /05 /mai /2024 01:57
Projet #Langlands:
Face floue de #factorisation⚡️, en fait problème central #maths!
⚡️est NP-complet vers #Civilisation↗️ malgré risque💻!
Il réunit #Elliptique E-nbr(y^2=x^3-x.nbr^2), nbr #Congruent +#Geometrie📐:
nbr=z.P1.P2=8.z^2.TAN➡️L=>0👍➡️#BSD!
#Dirichelet #Tunnell
z➡️x,y

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19 avril 2024 5 19 /04 /avril /2024 09:45

JOHN COATES (rip 2022),  écrivant sur ce tableau, a fait remarquer que personne ne pouvait expliquer Résidus Quadratiques > Non Résidus.

R - N = h, Nombre de Classe.

MAIS SI q EST UN COMPOSÉ = P1 x P2

( q - 1 )/2 = R + N

ET SI ON POUVAIT RETROUVER h, une valeur si particulière?

Ce serait une info en faveur de la factorisation de q, même si h sera sûrement une variable dans une autre équation répondant aux questions. Mais encore faut-il le trouver facilement lorsque (R + N) est très grand.

EN AMONT DES NON RESIDUS, des multiples de P1 et P2, donc en moins grand nombre parmi les entiers plus petits que (q-1)/2.

Or si q est un nombre premier, (q - 1) est la FONCTION INDICATRICE (FI, PHI) et q n'a pas d'autre facteur premier que lui même.

ON PEUT ALORS COMPRENDRE ce que représentent R et N dans un nombre composé et même les raisons pour lesquelles sa fonction indicatrice paire doit être divisible par 4..

TROUVER LE NOMBRE DE CLASSE pourrait même conduire à la factorisation puisque lié à FI...

 

                                                   FTJules

Le NOMBRE DE CLASSE vers La FACTORISATION ?

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11 avril 2024 4 11 /04 /avril /2024 09:14

Déjè en 2010...

Conjecture de SYRACUSE

3X+1  avec X impair

C'est nécessairement tendre vers un nombre pair congru à une puissance de 2 modulo la suivante.

Et finir en 421...

FTJules

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1 décembre 2018 6 01 /12 /décembre /2018 08:07

   Après avoir soumis sans succès cette article à deux revues de mathématiques, une anglo-saxonne et l'autre française, j'ai opté pour l'affichage sur ce Blog de mon raisonnement concernant la Conjecture de Beal. Le faire a toujours été ma première idée en considérant que si j'avais raison, seule comptait la vérité mathématique. Mais j'ai tout de même voulu tenter ma chance à l'édition afin de remplir un des critères nécessaires pour prétendre à la récompense lié à cette conjecture. En l'occurrence être publié dans un journal à comité de lecture.

   Je ne suis pas un professionnel des mathématiques mais j'ai mené quelques réflexions que j'ai tenté d'exprimer avec le plus de formalisme possible et surtout en considérant que la logique de mes propos pouvait transcender les normes si tant est qu'elle soit aussi exacte que je peux le penser. Mais il m'a été rétorqué que l'article de collait pas aux règles d'écriture édictées par Bourbaki et qu'un texte devait contenir une suite de théorèmes, lemmes ou propositions qui contiennent une hypothèse et une conclusion. Chose que je pensais pourtant avoir fait avec les trois propositions contenues dans l'article (ou tentative...) qui analysaient selon trois axes l'énoncé de la conjecture alors transformé par des changements de variables issus de la conjecture elle même mais en établissant un classement des exposants de puissance selon une taille supposée créant une proportionnalité de leurs valeurs. Chose que rien n'interdisait puisque n'ont pas été imposées de conditions sur celle-ci à part le fait que les trois exposants de départ sont supposés être des entiers supérieurs à deux . En remarquant également que l'on raisonne dans un cadre diophantien c'est à dire avec des entiers.

Chaque proposition aboutissait après une réécriture de l'équation de départ (Celle de Beal avec des exposants différents) et cela en rejoignant la forme de l'équation liée au dernier Théorème de Fermat (Th Fermat-Wiles,) de par la réduction à un même exposant  pour les termes de l'équation nouvelle et conservés au nombre de trois. Le but étant de montrer que l'on ne contrariait pas le Théorème de Fermat en n'obtenant pas que des termes entiers sous des exposants de puissance censés être supérieurs à deux ce qu'interdisait le dit théorème. Je concluais donc les proposition 1 et 2 dans ce sens. Une hypothèse par rapport aux exposants et une conclusion...

Mais il en alla autrement pour la proposition 3 qui a abouti à une structure, l'équation (3c), où les trois termes montraient une structure correspondant à des entiers sous une même puissance z >2 en contradiction avec le Théorème de Fermat en sachant par ailleurs que la Conjecture de Beal est considérée comme une généralisation de ce théorème. Or, les critiques ont stipulé que l'auteur semblait se demander dans quelle mesure la Conjecture de Beal pouvait prendre en défaut le Théorème de Fermat et qu'il n'était pas intéressant de se poser cette question... Sur un réseau social j'aurais mis un "LOL" en gras, tant cette interrogation m'apparaissait pertinente du fait de la généralisation  invoquée qui n'est pas de moi et semble être admise par la communauté d'une part et d'autre part ,en avançant dans mes calculs à l'issue de chaque changement de variable, je ne pouvais prévoir le type d'équations auquel j'allais aboutir et notamment la troisième qui ne pouvait qu'intriguer en créant un cas de figure "original" dont j'allais discuter les conséquences en essayant, en vain, de sauver le Dernier Théorème de Fermat déjà admis en Théorème Fermat-Wiles.

   On m'a également fait remarquer que le texte ne contenait aucun résultat mathématique original, alors même que je pensais avoir atteint un stade original avec la proposition 3 et la formule en (3c) qui à mon sens devait clairement poser question...

On a qualifié ma réflexion de "spéculations" ne pouvant être publiées dans un journal de mathématiques. Celles-ci, je cite, devant se cristalliser en des énoncés mathématiques précis. D'une part mes équations sont exactes à travers des transformations algébriques qui font le raisonnement et d'autres part j'ignorais qu'un mathématicien savait d'emblée où le menait une réflexion lorsqu'il entreprenait notamment de résoudre un problème jusque là sans solutions. Ne devait-il pas émettre des hypothèses et donc "spéculer" sur les voies selon lesquelles il allait tenter d'analyser le problème? Moi, j'ai "spéculé" sur la relation de proportionnalité entre les exposants de puissance et cela en couvrant, à mon sens, tous les cas de figures avec:

x<y<z,  x<z<y et z<x<y sachant l'ordre entre x et y n'est qu'une question d'écriture entre exposants de termes situés du même côté de l'égalité qui définit l'équation de départ et que les cas triviaux d'égalité de puissance ne créeraient pas plus de complexité que les trois proportions développées donc en trois propositions (Lemmes?...) 

Cet article de la part d'un indépendant, non professionnel, ne pouvait à coup sûr coller à toutes les règles académiques mais y-a-t-il donc rien dans cet axe de réflexion qui aurait mérité une remarque positive alors même que bien que n'étant pas au courant de tout ce qui a pu être publié sur le sujet, je reste convaincu que l'idée d'exposants proportionnels n'avait pas encore été traitée et sûrement pas de cette manière car il me semble que si la troisième proposition n'avait pas posé de problèmes et avait connu la même issue que les deux premières, l'article aurait pu même être une manière "simple" et algébrique de démontrer le Dernier théorème de Fermat en montrant qu'en partant de la Conjecture de Beal censée être sa généralisation, on n'aboutissait jamais après transformation à une équation faite que de termes entiers sous une puissance supérieure à deux...

   Je vous laisse juge du raisonnement que j'ai mené durant le mois d'Octobre 2018 en faisant remarquer que j'avais traité la première proposition quatre ans auparavant en allant dans le sens du Théorème de Fermat-Wiles puisque j'avais alors supposé que tout se passerait favorablement dans ce même sens si j'analysais d'autres angles de calculs et cela en accordant du crédit à la démonstration du Th de Fermat par Wiles(1995). Et laissa donc de côté mes raisonnements.

   Merci de votre attention et de l'intérêt que vous avez pu accorder à mon travail.

Si vous êtes mathématiciens ou êtes intéressés par les mathématiques, peut-être vous inspirerais-je quelque axe de réflexion ou améliorations.

 

Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
Conjecture de BEAL vs FERMAT
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4 octobre 2018 4 04 /10 /octobre /2018 11:44

 

Hello,

         Hier et aujourd'hui 4 Octobre 2018, j'ai affiché sur un réseau (Twitter) un angle d'attaque du problème de la factorisation en mathématique. Mes tweets on été adressés à différentes institutions françaises de Sciences et Mathématiques et également au Gouvernement de la France au cas où j'aurais vraiment mis en évidence quelque chose de sensible car je ne peux mesurer la portée de mes calculs s' ils étaient traités par un super calculateurs et cela notamment par rapport à la fonction "Modulo Solve" dans un logiciel comme Maple non bridé à 100 chiffres comme dans la version "students".

  Mais il est clair à mon sens que mes calculs sont exacts quant au fait qu'ils puissent conduire à des solutions pour la factorisation en posant néanmoins la question du traitement des grands nombres si importants dans le monde numérique actuel.

  Les deux équations affichées et équivalentes par transformation mathématique équivalent au départ à un test de primalité ( néanmoinslié à la taille du nombre) établi à partir de l'observation de résidus quadratiques liés à un nombre (N) qui alors peut être déclaré premier:

- Sil ne divise ne divise jamais  A1=( X^2 -8X +12 )  ou A2= ( Y + 3 ).( Y - 1 )

Pour:    (X)  impair de 7 à  N    ou  (Y = 2 a )  pair de  2 à ( N - 5 ). 

On peut même ajuster le point de départ pour (X) en s'assurant  que A1 soit supérieur à (N).

  Non twitté mais équivalent,

on pourrait également écrire  A3 = (4 m (m+1) - 3)  à tester pour (m) de 1 à ((N - 5) /2).

- Si (N) est un nombre composé il va diviser A1, A2 ou A3 en mettant en évidence la valeur (a)=Y/2  qui est lié aux résidus quadratiques selon  (x^2 - 1) modulo [N] en étant capable de conduire à la résolution du problème de factorisation et cela dans un temps qui va dépendre de l' efficacité de la fonction "Modulo Solve" dans un logiciel comme Maple et en fonction de la puissance de l'ordinateur impliqué.

Pourquoi ce signalement maintenant?

   Si cette période de remise de prix Nobel doit sûrement m'avoir émoustillé à un certain niveau, il est clair que je suis influencé par un parcours personnel qui depuis plusieurs années n'a pas porté les fruits que j'espérais et si j'ai fait des choix de vie qui ne m'ont pas toujours été favorables, j'ai par ailleurs été confronté à un manque de fructuosité de diverses tentatives de contact avec le monde professionnel des Mathématiques lorsque j'ai essayé de faire part de certaines de mes réflexions (peut-être pas encore au niveau mais ayant à mon sens toujours un fond intéressant) et cela depuis Janvier 2006... Plus récemment, même ma tentative de démonstration de la Conjecture de Goldbach n'a pas eu l'écho escompté en ayant été qualifiée de trop "simple" et pourtant selon moi empreinte d'une grande logique.

  Un manque de succès global qui m'avait conduit en 2010 à créer ce Blog comme une bouteille à la mer mais rarement ouverte avec des conséquences favorables palpables qui auraient pu améliorer mon existence sociale.

  De plus le calcul que je viens d'affiché est si simple qu'il n'est pas impossible que quelqu'un d'autre le trouve un jour ou l'autre sans maîtriser ses intentions. Cela pourrait même être un mathématiciens moins aveuglé par ses diplômes...

 

   En espérant avoir été plus utile que dangereux,

 

                                                  FRANCILLETTE  THIERRY  JULES

Tweet @thefranj

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15 novembre 2017 3 15 /11 /novembre /2017 13:53

   Mon analyse para-numérique du signal WOW  "6EQUJ5" capté en 1977 par l'astrophysicien

Jerry R Ehman dans l'Ohio.

Eh!...

 

Calculs en rapportant le lettres à leurs rangs dans l'alphabet.

Calculs en rapportant le lettres à leurs rangs dans l'alphabet.

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24 février 2016 3 24 /02 /février /2016 10:04

Factoriser sans difficultés, N = P1 . P2 produit de deux nombres premiers impairs (P2>P1), est une quête, fil rouge de tous mes calculs depuis 2005.

Un de mes angles d'attaque (2010-2011) a été de considérer que plutôt que de s'acharner sur le nombre N, il pourrait être plus intéressant de chercher un nombre N' avec lequel il aurait un facteur commun permettant un calcul du PGCD <> 1.

Après avoir pensé au difficilement calculable N!, puis à | N^(1/2) |!,

Il m'apparut évident que le produit des nombres impairs successifs inférieurs à la racine carré de N, était le meilleur candidat à soumettre à ma quête d'algorithme efficace et donc polynômial... Ce produit passait nécessairement par le plus petit des deux facteurs, voire dans le cas d'un nombre composé de plus de deux facteurs par le plus petit des deux produits de facteurs pouvant être issus d'une répartition au sein d'un de mes premiers "amours" de calculs ( avec les suites PJBOADL), à mon sens intrigants:

- L'équation du IInd degré X^2 +/- (S).X + N = 0,

mais sous la forme X^2 +/- (DeltaNOIR).X - N = 0, avec le DeltaNOIR = (P2 - P1) que j'entrevoyais même légitimer la normalité de la nature de l'équation de Frey intervenue comme une des étapes de la démonstration du Grand Théorème de Fermat par Wiles. Cette équation ayant été montrée comme étant non modulaire par Ken Ribet...

La répartition des facteurs en deux produits de facteurs, au sein des deux solutions de l'équation du IInd degré, crée toujours un équilibre de telle sorte que le DeltaNOIR soit le plus petit possible. Une caractéristique que je mis à contribution lorsque je chercha à résoudre le problème du TSP réduit à un problème de factorisation...

Comme souvent, j'aime partir de choses simples (voire même "bêtes") et notamment d'un exercice qui revient souvent, en l'occurrence, la recherche de règles au sein d'une succession de valeurs numériques déjà connues ou mises en évidence par la déstructuration d'un "amas" numérique, même ordonné mais sans transparence, que l'on cherche à "aligner" au sein d'un polynôme dont les coefficients seraient faciles à calculer. il est permis de rêver. Non?

J'eu un beau frisson en atteignant, sur la base d'analyses faite jusqu'à n=21 en étant conscient que l'algorithme atteint serait censé fonctionner, du fait de la structure observée et traitée, pour une valeur n (impair)>15:

Produits de impairs (=>n) =

45045 * (n^2 - 2.n ) * ( 2 . 3^((3*n-49)/2) + 3^(n-16) - 3^((n-15)/2) ) / (n-15)

Avec évidemment, vu les 2 premiers multiplicandes, ce que j'appellerai la structure (A) :

3 * ( Prod des impairs de (15) à (n-4) ) =

( 2 . 3^((3*n-49)/2) + 3^(n-16) - 3^((n-15)/2) ) / (n-15)

Un frisson qui dura le temps de vérifier le calcul pour (n)={17,19,21}

Autant dire que le sort du monde fut sauvé (rien à craindre! je suis chrétien...) lorsque l'algorithme devint inexacte dès la valeur impaire "23" en finissant rapidement par trop sous-estimer la valeur du produit avec n qui augmentait.

Après avoir cru à une erreur de ma part, il était clair que l'algorithme ne pouvait être généralisé. La factorisation d'une succession de résultats obtenus par des "Solve", connaissant la valeur du produit à atteindre, mis en évidence le fait que la structure (A) n'était pas conservée.

Mais l'échec était trop beau pour que la solution, selon moi, ne soit pas dans les parages. Le genre de pensées qu'il ne faut pas avoir si l'on est un "gros dormeur"; ce que je ne suis absolument pas...

Je me mis, à l'instar...d'Einstein, à la recherche d'une valeur correctrice!

Une variable qui rétablirait l'ordre, si je puis dire. Connaissant les valeurs que peut prendre (A), je testa l'inconnue partout entre et en dehors des parenthèses dans l'espoir de créer une succession de valeurs numériques qui répondrait à une récurrence évitant notamment le calcul de factorielles; sûrement la "mauvaise herbe" en théorie des nombres.

Allant jusqu'à me poser une question qui donnera naissance à une belle formule (B) qui ne résout rien et ne diminuera pas le degré de complexité mais qui est du genre à entériner l'idée de l'existence de structures cachées à découvrir et à exprimer:

Pourquoi ces puissances de 3? Une autre valeur était-elle possible? Puisque l'algorithme fonctionnait pour trois valeurs (17,19,21), peut-être existait-il, avec un pas de trois, un cycle de variables?

Ainsi naquît pour n = 17 + k.6 :

(le produit des impairs => n +/- {2 ou 4} étant ajusté par une multiplication ou une division)

45045 * (n^2-2.n) * 3^(k+1) * Prod( Som (429 + 394.x + 360.y + 432.z ) )

avec Produit pour (x) de 1 à k = (n-17)/6 ; y = x.(x+1)/2 et z = somme des triangulaires (1 à x) dont formule dépend de la parité de (x).

Afin d'obtenir cela, j'ai dû mettre en récurrence les valeurs que prenait une variable remplaçant "3":

x={3,14535,175510125,4260157264125,182057820682381875,...}

correspondant à n={17, 23,29,35,41,...}

avec x2=x1.(3.1615) ; x3=x2.(3.4025) ; x4=x3.(3.8091) ; x5=x4.(3.14245) ...

Exemple avec n=29. Rq: En testant g2=0 on évite numérateur nul avec x<>1

Exemple avec n=29. Rq: En testant g2=0 on évite numérateur nul avec x<>1

- A la rechercher de la variable correctrice pour n impair > 39

au sein de (A): ( 2 . 3^((3*n-49)/2) + 3^(n-16) - 3^((n-15)/2) ) / (n-15)

1ère solution intéressante mais qui reste approximative à cause de b moins stable que a:

Considérer deux variables (a,b) notamment pour n impair >39

( (2+a).3^((3.n - 49 + b)/2) + 3^(n-16) - 3^((n-15) /2)) / (n-15)

a = 3,3 + 1,2 * x + 0,4 * y + 0,1 * z

avec la même idée de triangulaire (en y) et somme de triangulaires (en z)

b = 19.10^(-3) + h.9.10^(-2) + 10^(-1).h.(h-1)/2

h = ( n - 41 ) / 2

Algo  pour la variable (a) de la 1 ère solution. Pour n=43=2.i+1 et g =z , a0 = 5,1

Algo pour la variable (a) de la 1 ère solution. Pour n=43=2.i+1 et g =z , a0 = 5,1

2ème Solution

Produit des impairs =

45045 * ( n^2 - 2.n + c ) * ( 2.3^( (3.n - 49)/2 ) + 3^(n-16) - 3^(n-15)/2 ) / (n-15)

Créer une variable "c", ma préférée, car la première à m'avoir donné de grandes espérances. Elle ne conduit cependant pas à des résultats suffisamment exacts mais génère une suite de valeurs que j'aie cru un temps avoir mis en récurrence par un calcul très séduisant que j'appelle le "ruisseau" mais qui a fini par s'écarter du bon chemin.

Mais je suis sur une piste... Du moins quand cela me dit (..ces calculs datent de 2011). Difficile à confirmer, elle demande de générer une pyramide de nombres (heureusement par sommation où intervient la pyramide de Pascal) ayant n-étages et qui croît plus rapidement que ma précédente tentative et dont le résultat final sous-estimera nécessairement beaucoup moins le produit d'impairs attendu.

Ces solutions ne sont que des angles d'attaques qui n'atteignent pas l'exactitude numérique nécessaire au calcul d'un PGCD "utile".

Qu'en est-il à l'infini

FRANCILLETTE Thierry Jules

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12 février 2016 5 12 /02 /février /2016 08:55

Une réécriture de l'article suivant:

http://matreadel.over-blog.com/article-conjecture-de-goldbach-francillette-demo-112443468.html

Afin de rendre plus claire la lecture et compréhension de l'indice "i" qui s"était dédoublé en " i' " ayant la même valeur mais lié au comptage des nombres premiers (P2)>(S/2) au sein des couples {P1,P2} possibles dont l'addition des deux éléments est censée donner la valeur paire (S).

Un mathématicien, à qui je ne tiens pas rigueur, m'a dit que cela était insuffisant et ne pouvait être une démonstration du fait que je posais à la fois un fait comme étant exacte (la conjecture ) et son contraire... pouvant alors démontrer tout et n'importe quoi par ce biais!

À mon sens, l'étude était effectuée en prenant les propositions opposées d'une manière successive afin, dans un premier temps, de constater ce qui pouvait découler de l'exactitude de la conjecture sur le dénombrement des couples de nombres premiers possibles qui alors considérés comme existants permettaient d'écrire la proposition (8); noyau de départ de la tentative de démonstration.

Elle exprime le fait que l'on obtiendrait autant de fois (P1+P2=S) qu'il existerait de couples (P1,P2) donnant (S), puisque l'observation mathématique montre qu'une même valeur paire peut s'écrire d' au moins une manière comme somme de deux nombres premiers.( " i " étant supposé non nul)

Il était donc normal d'en vérifier les conséquences mathématiques. L'idée étant que si (8) avait été fausse, cela aurait pu conduire à des expressions incongrues en (10a,b,c).

Si, par exemple, on vous disait que la différence entre deux nombres impairs est toujours paire, vous crieriez "à l'évidence!" mais non sans avoir, la première fois où vous y auriez été confronté, effectué quelques calculs vous permettant de le constater... Puis de traduire cette vérité à travers "un pas de 2". Si la proposition avait été fausse, l'expérience de calculs basiques vous l'aurait immédiatement montré.

C'est en ce sens que j'éprouva un certain contentement en arrivant à (10c) exprimant le fait que l'indice valait au minimum une unité et donc qu'il existait au moins un couple (P1,P2) pour une caleur (S).

Puis dans un deuxième temps,

qui plus est faisant intervenir les conséquences mathématiques des nombres triangulaires en l'expression de somme d'entiers consécutifs (remarque 1),

Je chercha à prendre en défaut cette valeur non nulle de l'indice et cela en la considérant comme...nulle, à travers ce que l'on appelle dans le secondaire un "raisonnement par l'absurde" visant à conforter l'exactitude d'un résultat en montrant que le statut inverse aboutit au niveau calculatoire à une aberration! Ce que je fais à partir de (11) en arrivant en (14).

Mais tout cela n'est peut-être qu'un "Beau noeud...logique"!

Conjecture de GOLDBACH. Mon angle d'attaque.
Conjecture de GOLDBACH. Mon angle d'attaque.
Conjecture de GOLDBACH. Mon angle d'attaque.
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22 janvier 2015 4 22 /01 /janvier /2015 16:17

IL SUFFIT DE RAMENER L'EQUATION À CELLE DU GRAND FERMAT

et DE CONCLURE QUE SI LES RATIONNELS OBTENUS ETAIENT TOUS DES NOMBRES

ENTIERS, CELA IRAIT CONTRE LE THEOREME Fermat-WILES...

LA STRUCTURE DE CES RATIONNELS PARLE D'ELLE MÊME.

LES CONDITIONS DE DEPART (COUVRANT LA SITUATION LA PLUS COMPLIQUEE) PERMETTENT DE GENERALISER EN PERMETTANT DES EGALITES COUVRANT LES CAS PARTICULIERS PLUS SIMPLES.

L'ETUDE DE CAS NUMERIQUES LIES À CES CONDITIONS DE DEPART PERMETTENT UNE ECRITURE PLUS PRECISE DES RATIONNELS OBTENUS EN ETABLISSANT DANS LE MÊME TEMPS UNE EXPRESSION PARTICULIERE DE:

2^(x) + 1

La variable (x) étant l'exposant commun auquel est rapportée l'équation de départ de la conjecture de Beal et cela vers son expression de type "Fermat".

FRANCILLETTE THIERRY JULES

(Une étude réalisée les 17 et 19 janvier 2015)

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4 juillet 2014 5 04 /07 /juillet /2014 01:49
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